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Le co-marquage est un service proposé par l'État aux administrations qui a pour objectif de faciliter la diffusion de l'information administrative vers le public et de rapprocher les données nationales et locales en faveur d'un meilleur renseignement de l'usager.
La loi ne prévoit pas de conditions particulières pour obtenir la résiliation judiciaire d'un contrat de travail. Le juge définit les contours de ce mode de rupture du contrat et se prononce au cas par cas.
Tout salarié estimant que son employeur manque gravement à ses obligations contractuelles peut demander la résiliation judiciaire de son contrat de travail.
À noter : l'employeur n'est pas autorisé à obtenir une résiliation judiciaire, sauf faute grave d'un apprenti dans le cadre d'un contrat d'apprentissage.
Le manquement grave de l'employeur à ses obligations contractuelles est retenu par le juge dans certains cas, notamment :
La résiliation judiciaire du contrat de travail doit être demandée auprès du conseil de prud'hommes.
Le contrat de travail se poursuit normalement pendant toute la procédure.
À savoir : si le salarié est licencié en cours de procédure, le juge se prononce d'abord sur la résiliation judiciaire du contrat.
Si le conseil de prud'hommes résilie le contrat de travail, cette résiliation prend effet à la date du jugement.
Elle produit les effets d'un licenciement sans cause réelle et sérieuse (ou d'un licenciement nul si le salarié est protégé). Dans ce cas, l'employeur doit verser au salarié :
Par ailleurs, l'employeur est tenu de remettre au salarié :
Si le juge refuse la résiliation judiciaire, le contrat de travail se poursuit normalement et aucune indemnité n'est due au salarié.
Si l'employeur a licencié le salarié en cours de procédure, le juge se prononce sur la validité de ce licenciement après avoir rejeté la demande de résiliation du salarié.
Peut-on garder la mutuelle de l'entreprise à la fin du contrat de travail ?