Vous êtes ici : Accueil / Ma mairie / Co-marquage / Congé de mobilité
Le co-marquage est un service proposé par l'État aux administrations qui a pour objectif de faciliter la diffusion de l'information administrative vers le public et de rapprocher les données nationales et locales en faveur d'un meilleur renseignement de l'usager.
Le bénéfice du congé de mobilité est ouvert aux salariés concernés par une procédure de licenciement économique, dans les conditions suivantes :
L'accord collectif de GPEC détermine les points suivants :
Les périodes de travail proposées aux salariés peuvent être accomplies au sein ou en dehors de l'entreprise qui a proposé le congé de mobilité.
Elles peuvent prendre la forme :
Lorsque la période de travail prend la forme d'un CDD, le congé de mobilité est suspendu et reprend à l'issue du contrat pour la durée restant à courir.
Le congé de mobilité est pris pendant la période de préavis, que le salarié est dispensé d'exécuter.
Lorsque la durée du congé excède la durée du préavis, le terme du préavis est reporté jusqu'à la fin du congé.
Si le salarié accepte la proposition de congé de mobilité, son contrat de travail est rompu d'un commun accord avec son employeur à l'issue du congé.
L'employeur n'a plus l'obligation de lui proposer un congé de reclassement.
Lorsque le congé de mobilité est effectué pendant la durée du préavis, le salarié perçoit son salaire habituel.
Si le congé se prolonge au-delà de la durée du préavis, la rémunération est fixée au minimum à 65% de la rémunération brute moyenne des 12 derniers mois, sans pouvoir être inférieure à 85% du SMIC.
La rémunération versée est exonérée de cotisations sociales au maximum pendant les 9 premiers mois du congé. Elle reste soumise à la contribution sociale généralisée (CSG) et la contribution au remboursement de la dette sociale (CRDS).