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Le co-marquage est un service proposé par l'État aux administrations qui a pour objectif de faciliter la diffusion de l'information administrative vers le public et de rapprocher les données nationales et locales en faveur d'un meilleur renseignement de l'usager.
Pendant votre arrêt de travail, votre contrat de travail est suspendu. Sa suspension prend fin lorsque vous êtes déclaré apte par le médecin du travail lors de la visite médicale de reprise du travail.
Vous devez alors retrouver votre emploi ou, s'il n'est plus disponible, un emploi similaire assorti d'une rémunération au moins équivalente.
Votre aptitude à reprendre le travail peut être partielle. Dans ce cas, le médecin du travail est chargée de préconiser soit l'aménagement ou l'adaptation de votre poste de travail, soit votre reclassement sur un autre poste.
Si votre arrêt maladie dure plus de 3 mois, vous devez passer une visite de préreprise.
Vous pouvez être autorisé, dans certains cas, à reprendre votre travail à temps partiel pour motif thérapeutique (appelé mi-temps thérapeutique).
La reprise à temps partiel est préconisée :
Avant la reprise du travail, votre médecin traitant vous prescrit une reprise à temps partiel pour motif thérapeutique. Vous adressez ensuite cette prescription à la CPAM (volets 1 et 2) et à votre employeur (volet 3).
L'employeur donne son accord de principe, sous réserve de l'avis favorable du médecin du travail et dans le respect des préconisations émises. Vous devez vous accorder avec votre employeur sur la répartition des heures de travail et la rémunération versée.
Le médecin conseil de la CPAM donne un avis favorable ou non au paiement d'indemnités journalières (IJ).
Pendant votre temps partiel pour motif thérapeutique, vous percevez votre salaire, dont le montant est calculé en fonction de votre durée de travail.
Vous pouvez également bénéficier d'IJ versées par la sécurité sociale, dans les conditions suivantes :
Le montant des IJ et la durée de versement sont fixés par la CPAM. Ces IJ ne peuvent en aucun cas être versées plus d'un an au-delà du délai maximum de 3 ans prévu pour le versement des indemnités versées en cas d'arrêt maladie.
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